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En 1997 paraissait le premier Rapport sur l’homophobie de notre association, trois ans après la création de la ligne d’écoute. Depuis, chaque année, cet ouvrage recense et analyse les témoignages qui nous sont quotidiennement adressés via nos dispositifs d’écoute. En 2020, le document prend le nom de Rapport sur les LGBTIphobies dans le but de mieux représenter la diversité des personnes concernées et des thématiques abordées.

Les données statistiques issues de ces prises de contact sont classées dans plusieurs thématiques (agressions physiques, discriminations au travail, en famille, mal de vivre, etc.), et analysées par nos bénévoles. Le Rapport sur les LGBTIphobies constitue une référence qui permet de présenter chaque année l'évolution des discriminations LGBTIphobes en France. C’est le principal support militant de l’association pour donner la parole aux victimes et attirer l’attention des institutions politiques.

Couverture du rapport annuel 2024 de SOS homophobie avec une mention : Disponible en téléchargement

Le Rapport sur les LGBTIphobies 2024

SOS homophobie publie la 28ᵉ édition de son rapport annuel afin de dresser un état des lieux des violences, discriminations et enjeux auxquels sont confrontés les personnes lesbiennes, gays, bies, trans et intersexes en France. À partir des témoignages qu’elle a reçus, des histoires des personnes qu’elle a accompagnées juridiquement et des faits d’actualité qui l’ont marquée, l’association s’alarme d’un climat délétère où les droits et les vies des personnes LGBTI, et en particulier des personnes trans, sont constamment remis en question et menacés. SOS homophobie dénonce une inaction politique qui peine à mettre en place des politiques chiffrées et inclusives et qui participe au mal de vivre profond qui parcourt la communauté LGBTI.
 

Consulter le dossier de presse

 

Outée par une camarade, je suis harcelée par d'autres élèves qui ont créé un groupe sur les réseaux sociaux pour m'insulter.

Camille est en 5e, s’identifie comme « une fille dans le corps d’un garçon » et se sent isolée comme jamais.

Elle a confisqué mon téléphone, m’empêche de contacter ma petite amie, m’a donné des coups et obligée à mentir à la gendarmerie.

Stéphanie, après que sa mère ait appris son orientation sexuelle.

Je ne vis pas, je survis. L’homophobie tue vraiment.

Gilles, 47 ans, est harcelé et violenté au quotidien par ses voisin‧es vivant au-dessus de son appartement.

Nos précédents rapports

Couverture du rapport 2023 de SOS homophobie

Rapport sur les LGBTIphobies 2023

miniature_couv_RA2022

Rapport sur les LGBTIphobies 2022

Couverture Rapport sur les LGBTIphobies

Rapport sur les LGBTIphobies 2021

RA2020

Rapport sur les LGBTIphobies 2020

RA2019

Rapport sur l'homophobie 2019

RA2018

Rapport sur l'homophobie 2018

RA2017

Rapport sur l'homophobie 2017

RA2016

Rapport sur l'homophobie 2016

RA2015

Rapport sur l'homophobie 2015

RA2014

Rapport sur l'homophobie 2014

RA2013

Rapport sur l'homophobie 2013

RA2012

Rapport sur l'homophobie 2012

RA2011

Rapport sur l'homophobie 2011

RA2010

Rapport sur l'homophobie 2010

RA2009

Rapport sur l'homophobie 2009

RA2008

Rapport sur l'homophobie 2008

RA2007

Rapport sur l'homophobie 2007

RA2006

Rapport sur l'homophobie 2006

RA2005

Rapport sur l'homophobie 2005

RA2004

Rapport sur l'homophobie 2004

RA2003

Rapport sur l'homophobie 2003

RA2002

Rapport sur l'homophobie 2002

RA2001

Rapport sur l'homophobie 2001

RA2000

Rapport sur l'homophobie 2000